Editions Fayard
Quatrième de couverture :
Rien ne semble devoir troubler l’existence ordonnée et
protégée de Pemberley, le domaine ancestral de la famille Darcy, dans le
Derbyshire, ni perturber le bonheur conjugal de la maîtresse des lieux,
Elizabeth Darcy. Elle est la mère de deux charmants bambins ; sa sœur préférée,
Jane, et son mari, Bingley, habitent à moins de trente kilomètres de là ; et
son père adulé, Mr Bennet, vient régulièrement en visite, attiré par
l’imposante bibliothèque du château. Mais cette félicité se trouve soudain
menacée lorsque, à la veille du bal d’automne, un drame contraint les Darcy à
recevoir sous leur toit la jeune sœur d’Elizabeth et son mari, que leurs
frasques passées ont rendu indésirables à Pemberley. Avec eux s’invitent la
mort, la suspicion et la résurgence de rancunes anciennes.
Ce que j’en ai
pensé :
Pemberley est le domaine de la famille Darcy. Nous sommes à
la veille du grand bal d’automne, le bal de Lady Anne, et les préparatifs se font de tous côtés. Au
dehors la tempête se déchaine, le vent siffle dans les cheminée sans perturber
les occupants de la somptueuse demeure qui sont tous bien afférés mais heureux
jusqu’à l’arrivée impromptue et hystérique de Lydia, la petite sœur d’Elisabeth
Darcy. Lydia n’est pourtant pas invitée au bal car son époux n’est pas toléré
au domaine. En sortant de sa voiture elle hurle « Wickham est mort, Denny
l’a tué ! Ils sont là-bas, dans les bois ! Oh, mon Dieu, il est mort,
j’en suis certaine ! ». M. Darcy lance alors les recherches et peu
après le fringant capitaine Denny est
retrouvé à terre, le visage ensanglanté.
J’ai passé un bon moment en lisant ce livre à l’ambiance
victorienne. L’aristocratie de l’époque et la place de la femme sont bien
représentées, il se dégage de ce livre un charme qui donne envie d’entreprendre
d’autres lectures se passant à cette époque. L’intrigue par elle-même n’a rien
de spectaculaire, mais le dénouement est bien trouvé. La couverture est très belle.
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