Quatrième de couverture :
Jenny Fields ne veut pas d’homme dans sa vie mais elle désire un enfant. Ainsi naît Garp. Il grandit dans un collège où sa mère est infirmière. Puis ils décident tous deux d’écrire, et Jenny devient une icône du féminisme. Garp, heureux mari et père, vit pourtant dans la peur : dans son univers dominé par les femmes, la violence des hommes n’est jamais loin…
Ce que j'en ai pensé :
1942. Jenny est une bonne infirmière. Elle voulait travailler et vivre seule. Cela la rendait parfaitement « sexuellement parlant » suspecte. Ensuite elle voulut avoir un enfant sans être pour autant obligée de partager son corps et sa vie pour en avoir un et cela la rendit vulgaire. Elle perd son temps et paraît sur la défensive en essayant de prouver son innocence à ses parents dans la mesure où son père, sa mère, ses frères et même sa logeuse lui prêtent tous une vie de débauche. Mais obsédée par l’idée d’avoir un enfant elle trouve la solution idéale en profitant de l’érection d’un soldat, un mitrailleur revenu du ciel de France, dans le coma. Neuf mois plus tard naît S.T. Garp.
Ouf je suis enfin arrivée au bout de ce livre de 660 pages. J’ai dû m’acharner pour arriver au bout de « Ce monde selon Garp » que certains lecteurs qualifient de « génial » alors que moi, je l’ai trouvé ennuyeux et épuisant.
D’avant sa naissance après sa mort, ce prolixe roman raconte la vie de S.T. Garp. La vie d’un garçon qui vivant dans un monde de femmes a peur de tout. Un garçon qui vit avec ses continuelles obsessions (on le voit courir comme un fou pour traquer les chauffards, les arrêter et leur dire de conduire moins vite car il y a des enfants dans le quartier), un garçon qui vit dans la crainte de perdre ses êtres chers, qui voit dans le quotidien des dangers partout. Des peurs qui inévitablement provoquent des drames. Garp est un personnage tout à fait singulier, partagé entre son envie d’écrire, de faire de la lutte, vivant dans l’angoisse, une angoisse qu’il compare à « un crapaud du ressac », il a du mal à trouver sa place en ce monde et d’y être heureux. Il n’est pourtant qu’un être humain, comme tout le monde, mais qu’est-ce qu’il débloque par moments ! De son éducation dans une institution prestigieuse, couvé par sa mère qui y travaille, à son voyage à Vienne où il va découvrir son envie d’écrire, de son mariage à la naissance de ses enfants, on suit son destin. De longues descriptions, des histoires dans l’histoire. Si certains passages se veulent drôles, d’autres sont assez sordides. Certains personnages sont pathétiques, grotesques souvent, mais rarement drôles. A travers le personnage de sa mère il s’en prend à la concupiscence des hommes, il fait de ce personnage une icône du féminisme en pleine révolution sexuelle et émancipation de la femme dans les années 50. Il s’apitoie sur les sorts des femmes victimes des bas instincts des hommes, sur tous les problèmes de la violence, de la sexualité et de la famille dans univers un peu macabre.
Je ne m’explique pas la réputation de ce roman. Je l’ai trouvé ennuyeux, embrouillé, et parfois déjanté. J’ai fait de nombreux retours en arrière car j’avais lu sans lire certains paragraphes. Une chose est certaine c’est un livre que ne relirai pas.
Ouf je suis enfin arrivée au bout de ce livre de 660 pages. J’ai dû m’acharner pour arriver au bout de « Ce monde selon Garp » que certains lecteurs qualifient de « génial » alors que moi, je l’ai trouvé ennuyeux et épuisant.
D’avant sa naissance après sa mort, ce prolixe roman raconte la vie de S.T. Garp. La vie d’un garçon qui vivant dans un monde de femmes a peur de tout. Un garçon qui vit avec ses continuelles obsessions (on le voit courir comme un fou pour traquer les chauffards, les arrêter et leur dire de conduire moins vite car il y a des enfants dans le quartier), un garçon qui vit dans la crainte de perdre ses êtres chers, qui voit dans le quotidien des dangers partout. Des peurs qui inévitablement provoquent des drames. Garp est un personnage tout à fait singulier, partagé entre son envie d’écrire, de faire de la lutte, vivant dans l’angoisse, une angoisse qu’il compare à « un crapaud du ressac », il a du mal à trouver sa place en ce monde et d’y être heureux. Il n’est pourtant qu’un être humain, comme tout le monde, mais qu’est-ce qu’il débloque par moments ! De son éducation dans une institution prestigieuse, couvé par sa mère qui y travaille, à son voyage à Vienne où il va découvrir son envie d’écrire, de son mariage à la naissance de ses enfants, on suit son destin. De longues descriptions, des histoires dans l’histoire. Si certains passages se veulent drôles, d’autres sont assez sordides. Certains personnages sont pathétiques, grotesques souvent, mais rarement drôles. A travers le personnage de sa mère il s’en prend à la concupiscence des hommes, il fait de ce personnage une icône du féminisme en pleine révolution sexuelle et émancipation de la femme dans les années 50. Il s’apitoie sur les sorts des femmes victimes des bas instincts des hommes, sur tous les problèmes de la violence, de la sexualité et de la famille dans univers un peu macabre.
Je ne m’explique pas la réputation de ce roman. Je l’ai trouvé ennuyeux, embrouillé, et parfois déjanté. J’ai fait de nombreux retours en arrière car j’avais lu sans lire certains paragraphes. Une chose est certaine c’est un livre que ne relirai pas.
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1 commentaires:
Quel dommage ! Un roman qui m'a émerveillée et fait passer par tant d'émotions. Il m'a surtout fait découvrir John Irving, qui est depuis resté mon écrivain favori.
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