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Mes passions

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4ème de couverture

4 janvier 1998. Un garçon de dix ans apprend que ses parents vont se séparer. Désespéré, il demande au ciel de l’aider. Le lendemain débute la plus grande tempête de verglas que le Québec ait jamais connue. Ce déluge de glace n’empêche pas son père de quitter la maison. Mais les choses se présentent différemment pour ses voisins, car des événements incroyables ou anodins vont faire peu à peu basculer leurs vies. Julie, danseuse en mal d’amour, accueille chez elle Boris, scientifique égocentrique, qui ne vit que pour ses expériences sur les poissons ; Michel et Simon, les deux « frères » si discrets, qu’on ne voit jamais ensemble, ouvrent leur porte à Alexis, leur voisin homophobe. Face à l’adversité, des liens se créent ; face au froid, l’entraide, la solidarité et l’altruisme enflamment les cœurs. Le Grand Verglas va progressivement changer la vie de tous les habitants de cette rue… pour le meilleur.

Ce que j'en ai pensé

Sous quelques bons centimètres de verglas, un petit garçon apprend que ses parents décident de divorcer, son meilleur copain est bien seul, avec son père qui ne travaille pas et qui boit beaucoup, Julie une danseuse a bien du mal à trouver l'âme sœur, etc… nous voilà au milieu d'une dizaine de personnes qui se croisent quotidiennement mais qui ne se voient pas. Conséquence d'un grand coup de froid ces mêmes personnes vont vivre dans des conditions difficiles, leur comportement humain va changer, l'entraide et la solidarité vont êtres mises à l'honneur avec beaucoup d'humour.
Un livre plein de sentiments colorié de jolis mots qui parfois donnent envie de rire.
Des chapitres courts qui portent le même nom que la dernière phrase du chapitre. Un roman au ton simple, ponctué de mots et paroles québécois qui est plein de bonne humeur malgré les situations parfois pas faciles. Un livre qui se lit très facilement.

Un grand merci à Blog-O-Book et aux éditions Héloïse d'Ormesson  pour ce partenariat




Quatrième de couverture

Automne 1945, alors que les Alliés se sont entendus pour occuper Berlin et le reste de l'Allemagne, une compagnie de militaires français emmenée par le capitaine Louyre investit le sud du pays. En approchant de la ville où ils doivent prendre leurs quartiers, une ferme isolée attire leur attention. Les soldats y font une double découverte : une adolescente hirsute qui vit là seule, comme une sauvage, et le corps calciné d'un homme. Incapable de fournir une explication sur les raisons de son abandon et la présence de ce cadavre, la jeune fille est mise aux arrêts. Contre l'avis de sa hiérarchie, le capitaine Louyre va s'acharner à connaître la vérité sur cette affaire, mineure au regard des désastres de la guerre, car il pressent qu'elle lui révélera un secret autrement plus capital.

Ce que j'en ai pensé

Ma première lecture de cet auteur. J'ai appris ensuite qu'il a écrit La chambre des officiers qui a fait l'objet d'une adaptation cinématographique et qui est un film que j'ai beaucoup aimé.
Ce roman mené sous la forme d'une enquête, où dès le départ nous en savons plus, en tant que lecteur que le capitaine qui cherche à découvrir ce qui peut bien être caché, nous entraîne vers les horreurs commises lors de ces sombres années de la seconde guerre. Une grande sensibilité dans ce livre, un beau vocabulaire, une écriture fluide, une très belle lecture malgré ce qu'elle nous raconte. Un beau livre, mais pas une belle histoire d'hommes.


Quatrième de couverture  :

«Pour bien faire les choses, il faudrait commencer par divorcer.»
Ce que j'en ai pensé :

C’est une histoire de couple, après huit ans de mariage, parents de jumeaux de six ans.
 Jérôme, parti en virée avec ses copains, appelle par inadvertance, en pleine nuit, le numéro de son épouse avec son portable glissé dans sa poche. Celle-ci découvre, au travers de ses propos, qu'il ne l'aime plus, qu'il ne la supporte plus. Agathe commence alors par le surveiller en fouillant son portable, son ordinateur, ses mails. Réalisant qu'elle est trompée, elle décide de divorcer. Mais Jérôme ne veut pas de cette séparation, c'est alors le début d'une véritable bataille entre les époux, chacun luttait pour la garde des enfants gagné par le syndrome de Balavoine "C'est mon fils,  ma bataille, fallait pas qu'elle s'en aille".
Agathe résume ainsi la situation : « Telle était l’histoire. Si je devais en faire un speech, je dirais ceci : j’ai rencontré un homme. Je suis tombée amoureuse de lui, nous nous sommes mariés, nous avons eu des enfants. Aujourd’hui, cet homme est devenu mon pire ennemi. »
Nous suivons donc pas à pas le processus du divorce entre cette femme et cet homme qui un jour se sont aimés. C’est un vrai parcours plein d'embûches pour Agathe avocat, notaire, juge, détective, messagerie internet, recherche de preuves, peurs, ...elle découvre alors le vrai visage de son conjoint et elle a bien du mal à résister à ses assauts.
Et les enfants ? Sacha et Max n'ont que six ans et ils ne comprennent pas bien ce qui leur arrive. Agathe qui a hésité avant de demander le divorce, elle qui ne veut pas les  faire souffrir entend de leur part : « J’aurais préféré ne pas savoir. Maintenant je sais. Et la tristesse est dans mon cœur. Et je ne pourrai plus jamais l’enlever de mon cœur. »
C'est avec ironie, mais sans aucune concession que les agissements et les trahisons des deux personnes sont décrits. On a souvent l'envie de traiter le mari de "salaud".
Ce livre se lit facilement, c'est un bon roman qui dévoile les dessous du divorce. Une affaire conjugale unique, mais comme il y en a tant d'autres, assez proche de la réalité, une guerre où tous les coups sont permis, avec disputes à la clef, menaces et bien sûr avocat, notaire…Une histoire romancée qui fait réfléchir.

Joséphine a 30 ans, elle est célibataire et est désespérément à la recherche de l'âme sœur. Elle est stressée par ses parents, sa sœur qu'elle jalouse et de plus elle est le souffre douleur de ses collègues.

Ce que j'en ai pensé

J'ai lu un certain nombre de critiques qui m'ont donné envie de me procurer cette BD pour passer un bon petit moment de détente. Il n'en est rien, je n'ai rien trouvé de très amusant dans cette lecture. Il en résulte que je ne suis pas une fan de Joséphine.
Mais allez-voir l'avis  de Stephie qui l'a beaucoup aimé
Pour mon second livre faisant partie du challenge littéraire j'ai suivi les avis de Céline et Masery

Quatrième de couverture

Maman, je suis allée au supermarché.
Regarde dans le frigo.
J'ai arrosé les plantes.
J'ai nettoyé la cage de Jeannot Lapin.
J'ai rangé le salon. Et la cuisine.
Et j'ai fait la vaisselle aussi.
Je vais me coucher.
Ton esclave à domicile, Claire.

Une correspondance par Post-it sur le frigo entre une mère et sa fille. Lorsque la mère tombe malade, le temps presse mais l'espoir demeure. Un livre comme un trésor qui chuchote à l'oreille l'importance de ceux qu'on aime...

Ce que j'en ai pensé :

J'ai tout d'abord été surprise par cet échange entre une femme carriériste et sa fille en pleine crise d'adolescence. Par post-it la communication entre mère-fille est très matérialiste : liste de courses à faire, lave-vaisselle à vider, demande d'argent de poche, etc… mais ensuite la maladie s'en mêle, le ton devient plus intimiste, la fille va parler de ses examens, de ses résultats, de ses premiers amours, quand à la mère l'angoisse se fait de plus en plus ressentir, la peur d'être passée à côté de quelque chose les interpellent. Et vient brutalement l'inacceptable, la perte d'un parent.
Un roman triste, triste parce quand tout va bien on oublie qu'un jour il sera trop tard pour se parler, se prendre dans les bras, s'embrasser.
Un roman qui m'a plongée dans ma réalité, l'irrémédiable absence, un roman qui m'a fait pleurer