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Mes passions

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Editions Les Classiques de Poche
427 pages

Quatrième de couverture :

Un mécanicien de locomotive, tourmenté par une lourde hérédité, et qui ne s'entend vraiment qu'avec sa machine. Une femme qui semble née pour faire le malheur de tous les hommes qui l'approchent. Un jresuge péri de préjugés, prêt à renier la justice au profit de l'intérêt social et politique. Tels sont les personnages de ce drame, un des plus sombres qu'ait imaginé le romancier des Rougon-Macquart.

Ce que j'en ai pensé :

L’histoire se déroule dans le monde du chemin de fer, c’est entre deux gares que nous faisons connaissance des héros, que les passions se dévoilent et que de grands drames arrivent. Jacques Lantier et sa locomotive qu’il appelle avec tendresse « La Lison » forment un couple du progrès. Depuis quatre ans qu’il l’a conduit Jacques l’aime comme il aimerait une femme, il en a conduit bien d’autres, mais celle-ci a des qualités rares, elle est douce, obéissante, facile au démarrage et marche régulièrement. Jacques serait un homme heureux s’il ne souffrait d’un mal qu’il doit sans doute à son hérédité. Il  est le fils de Gervaise Macquart et de Jacques Lantier, est-ce pour cela  qu’il souffre d’une folie d’homicide ? Quand une femme l’attire et qu’il éprouve le désir physique pour cette femme celui-ci s’accompagne d’un irrésistible besoin de la tuer.  Il éprouve des douleurs violentes dans la nuque et le crâne, un grand frisson commence à lui gagner les membres et l’épouvante s’accompagne de pulsions meurtrières auxquelles il n’arrive pas à échapper. C’est lors d’une de ces crises qu’il arrive à surmonter en fuyant Flore qu’il est témoin d’un crime, un homme est poignardé et jeté hors de son wagon sur la voie ferrée. Pour éviter le scandale que pourrait révéler les turpitudes de la victime, le vieux Grandmorin, grand personnage fort influent et compromis, la justice arrête un marginal avant de le relaxer. Cette brève enquête a permis à Jacques de rencontrer Séverine. Les Roubaud ne vont pas être inquiétés pour le meurtre mais le ménage est brisé, Roubaud commence à jouer et Séverine va trouver du réconfort dans les bras de Jacques.
 
Du très grand Zola. Une lecture qui nous fait pénétrer dans les méandres de l’être humain. C’est un roman qui tourne presque toujours autour de la mort, les personnages tuent et semblent n’en éprouver aucun remords ou du moins bien peu, la vie continue. Roubaud se met à jouer, il perd beaucoup,  et même après avoir bien juré qu’il ne toucherait pas à l’argent du délit, il  le dépense sans compter, Séverine doit réfléchir pour s’émouvoir de l’abomination du crime auquel elle a participé puis très vite l’image s’efface, elle retombe à son calme, souriante avec son visage innocent et devient tendre avec son  grand amour pour Jacques tout en le poussant malgré tout à tuer son mari gêneur, Jacques est poursuivi par ses pulsions, on le voit étouffer et lutter contre l’abominable frisson qui lui gagne les bras et les jambes,  Flore n’hésite pas à faire dérailler un train pour tuer l’homme qu’elle aime et sa maîtresse. Mizard empoisonne sa femme pour avoir ses mille francs et pendant ces temps-là les trains  passent et repassent. En fin de compte il n’y a que La Lison qui n’est pas coupable dans cette histoire. Un roman qui réunit le monde du crime et le monde judiciaire où l’écriture est si belle, si envoutante que Zola nous transforme en  lecteur témoin de toute cette débauche. Les descriptions sont merveilleuses, les personnages hauts en couleur et leur histoire passionnante malgré la noirceur des chemins empruntés. Encore un très beau roman de la série des Rougon-Macquart.

Lecture faisant partie des challenges 


et


Editions 10/18 Univers Poche
252 pages
Quatrième de couverture :
Désireuses de conquérir leur destin, deux jeunes aristocrates anglaises aspirent à l’amour comme elles s’éprendraient d’un rêve. Tandis que l’une se précipite vers le mariage avec fougue, la seconde guette patiemment l’élu qui viendra bouleverser sa vie. Dans le trouble de l’avant-guerre débute un long apprentissage sinueux et passionné, à jamais universel.
Ce que j’en ai pensé :
Comme son titre l’indique ce roman est une quête amoureuse. Dès leur quinze ans Fanny et Linda commençaient des conversations romanesques des plus innocentes. Pour elles amour et mariage étaient synonymes et elles étaient certaines qu’ils dureraient à jamais. Elles étaient amoureuses toutes les deux mais d’hommes qu’elles ne connaissaient pas. Linda était éprise du prince de Galles et Fanny d’un fermier rubicond.
C’est Fanny qui raconte mais le personnage principal de l’histoire est la romanesque Linda qui va par deux fois croire que son prince charmant est arrivé et qui va se tromper deux fois avant de trouver l’amour de façon tout à inattendue. Mon avis est mitigé sur ce livre dont j’ai lu pourtant des chroniques assez élogieuses. L’histoire est assez banale, la frivole et insouciante Linda est un peu agaçante dans sa quête du grand amour. Par contre j’ai bien aimé l’oncle Mattew, un personnage haut en couleur qui met un peu d’humour et de gaieté dans cette histoire. Une lecture pas désagréable mais qui ne me laissera pas un grand souvenir.
 Lecture inscrite dans le challenge :
 

Editions Le Livre de Poche
375 pages

Quatrième de couverture :

Je m’appelle Brodeck et je n’y suis pour rien. Je tiens à le dire.
Il faut que tout le monde le sache.
Moi, je n’ai rien fait, et lorsque j’ai su ce qui venait de se passer, j’aurais aimé ne jamais en parler, ligoter ma mémoire, la tenir bien serrée dans ses liens de façon à ce qu’elle demeure tranquille comme une fouine dans une nasse de fer. Mais les autres m’ont forcé : « Toi, tu sais écrire, m’ont-ils dit, tu as fait des études. » J’ai répondu que  c’étaient de toutes petites études, des études même pas terminées d’ailleurs, et qui ne m’ont pas laissé un grand souvenir. Ils n’ont pas voulu savoir : « Tu sais écrire, tu sais les mots, et comment on les utilise, et comment aussi ils peuvent dire les choses (…). »

Ce que j’en ai pensé :

Peu après la Seconde Guerre mondiale, Brodeck, survivant d’un camp de concentration, est de retour dans un petit village près de l’Allemagne. Il a retrouvé sa vielle servante Fédorine, sa femme Emilia qui après de dures épreuves a perdu la notion de vivre et fuit les jours en chantonnant, et sa petite-fille Poupchette. Les hommes du village après avoir assassiné l’Andërer  demandent à Brodeck d’écrire un rapport officiel. L’Anderër, l’Autre,  cet étranger mystérieux qui en plus de n’arriver de nulle part,  est venu s’installer à l’auberge, sans que l’on sache son nom, ni pourquoi il est arrivé là,  ni ce qu’il cherche ?  Brodeck est obligé d’accepter mais parallèlement à ce rapport il écrit sa propre histoire, ses souffrances après son arrestation, le train, le camp, sa terrible condition de prisonnier réduit au rôle d’un chien mais aussi sa vie au village avec ses terribles secrets que l’on a voulu enfouir… 

Un livre exceptionnel.

D’une écriture simple et limpide, le rapport de Brodeck est un magnifique livre sur le terrible sujet de la Shoah. Parce qu'il n'était pas né au village et qu'il avait rien en commun avec ceux qui l'habitaient car il ne leur ressemblait pas avec ses yeux trop sombres, ses cheveux trop noirs et son passé obscur Brodeck a été dénoncé aux allemands qui  demande la purification du village.Son histoire est douloureuse et ne peut laisser le lecteur indifférent.

Bravo Monsieur Philippe Claudel de m'avoir conté l’histoire de ce garçon descendu aux enfers et qui contre toute attente en est revenu, qui a su garder espoir et qui espère en une renaissance.
C’est un livre qui dérange et qui fait mal  car il nous montre du doigt la noirceur qui peut habiter l’être humain selon les circonstances dans lesquelles il se trouve et selon son intérêt.  Un récit émouvant qui laisse un goût amer car il vous raconte la guerre, les souffrances et les atrocités que des hommes peuvent faire subir à d’autres hommes. Certains se sont –ils sentis coupables d’avoir dénoncé un voisin, d’avoir violé une femme ou d’avoir torturé un être humain ?

"Je m'appelle Brodeck, et je n'y suis pour rien.
Brodeck, c'est mon nom.
Brodeck.
De grâce, souvenez-vous.
Brodeck."

J'inscris cette lecture dans le challenge :



 
Editions Actes Sud
220 pages

Quatrième de couverture :

Un jour de septembre 1853, un inconnu d'une vingtaine d'années se présente chez Robert et Clara Schumann, à Düsseldorf. Il souhaite des conseils, et leur faire entendre une sonate de sa composition. L'inconnu s'appelle Johannes Brahms et, à partir de ce jour, la vie des trois musiciens sera transformée par cette rencontre. Robert Schumann, déjà guetté par la folie, et qui entrera deux ans plus tard dans un hôpital psychiatrique pour ne plus en sortir, voit en lui son digne continuateur ; Johannes considère Robert à la fois comme un maître, un guide et un père. Et entre le jeune musicien et Clara Wieck naît une histoire d'amour, longue et tourmentée, qui ne prendra fin qu'à la mort de Clara.

Ce que j’en ai pensé :

Le jeune compositeur Johannes Brahms se présente un jour de septembre 1853  au domicile des Schumann dont il admire les talents de compositeur et de pianiste, Clara Schumann est en effet une pianiste adulée et ovationnée de par le monde. D’origines humbles, issu d’une modeste famille, Brahms veut apprendre le piano , un instrument de riche, inutile et peu rentable, mais  la médiocre carrière de musicien de mariages et de banquets ne l’intéresse pas, aussi éprouve-t-il beaucoup d’admiration et de respect pour Robert et ses œuvres, cette admiration ne l’empêche pas de tomber follement amoureux de Clara. « Tu es rentrée dans la pièce et ma vie a changé à jamais ». Brahms est heureux, cette relation avec la famille Schumann est une vie parfaite pour lui, même si certains trouvent cette situation embarrassante, équivoque et infâme. Robert trouve la musique du jeune Brahms extraordinaire, mais remarque-t-il qu’entre son disciple et sa femme ce n’est pas que de l’admiration réciproque mais quelque chose de beaucoup plus fort qui existe, en se faisant enfermer ne  veut-il pas les mettre à l’épreuve ?

Voici un merveilleux roman qui nous embarque dans le monde de la musique à travers les destinées de Johannes Brahms et du couple Clara et Robert Schumann.










 Le livre tout entier est une lettre que Johannes Brahms, fatigué et usé, adresse à Clara, sa bien-aimée, une lettre qui retrace leur histoire.
« Ma Clara bien-aimée
Je t’écris cette longue lettre de Vienne, de retour de tes funérailles. Tu m’excuseras si je t’écris même aujourd’hui, même si tu n’es pas là, même si, malheureusement, tu m’as quitté pour toujours. Mais depuis le 30 septembre 1953, je t’écris chaque jour, durant 43 longues années. »

Une écriture très belle pour nous narrer l’histoire de ces trois personnages, pour nous faire entrer dans cette famille de musiciens et ensuite nous faire saisir cette passion qui naît entre Clara Schumann et le jeune Brahms, une passion qui durera toute leur vie même s’ils essaient de l’étouffer. L’auteur nous fait découvrir également le monde effroyable de la folie au travers de l'angoissante maladie de Robert Schumann  qui est tombé dans l'enfer de l'asile. Luigi Guarneri nous décrit  son état tragique et désespéré dont est éloignée son épouse afin que ce pénible spectacle ne la déprime pas et afin de préserver sa santé pour le bien de ses enfants. Pendant deux ans et cinq mois Brahms va être aux côtés de Clara, il va l’aimer et  il va être un père pour les enfants Schumann qui l’adorent. Mais son amour pour Clara devient impossible, ils se sentent coupables. A la mort de Robert le couple se sépare. 

J’ai fait une merveilleuse découverte en lisant cet auteur,  quel talent pour décrire et nous faire ressentir l’intensité des sentiments que ce soit amour, folie, haine, doutes, culpabilité. Il nous fait rentrer dans l'intimité de cette bouleversante et douloureuse histoire tout en nous offrant un vrai plaisir de lire. De plus j’ai maintenant envie d’écouter de la musique, mais par n'importe laquelle, leurs musiques.

J'inscris cette lecture dans le challenge :


Editions Presse de la Cité
320 pages

Quatrième de couverture :

Etats-Unis, fin des années 1960. Le monde change, mais l'univers de la faculté de médecine dans lequel Sondra, Léa et Vicky évoluent reste très masculin. Pour réaliser leur rêve et devenir médecin, les trois amies doivent faire preuve d'une grande solidarité.
Leurs études terminées, chacune suit sa propre route. Sondra part au Kenya pour venir en aide aux plus démunis. Léa, qui peut enfin prouver à son père qu'elle est tout aussi capable de réussir que ses frères, s'installe en Californie. Quant à Vicky, elle choisit Hawaii pour exercer la chirurgie esthétique et redonner espoir à ceux que la maladie ou les accidents ont défigurés. Pour ces trois jeunes médecins idéalistes, il est temps de se confronter à la réalité...
 
Ce que j’en ai pensé :

De dures années d’études de médecine attendent trois audacieuses jeunes filles qui n’hésitent pas à se confronter à un monde très masculin. Arrivées dans les premières de leur promotion elles vont se lancer chacune de leur côté pour affronter leurs destins. Sondra a toujours rêvé de partir un jour au Kenya œuvrant pour l’action humanitaire, Vicky à Hawaii pour réparer les corps et les visages défigurés comme le sien le fut et Léa  en Californie a choisi la gynécologie.  Chacune d’elle va essayer de concilier son métier et sa vie personnelle.

Un roman très plaisant qui m’a beaucoup plu. Le récit commence en 1968 alors que Sondra, Vicky et Léa entament leur cursus universitaire et vingt ans vont s’écouler nous narrant leur histoire à toutes les trois. L’écriture est facile et agréable,  l’histoire de ces trois jeunes femmes déterminées à arriver au bout de leur passion est très prenante. J’ai passé un très agréable moment de lecture dans l’univers très particulier de la médecine vu de différentes façons. C’est dans la première partie à la facultéb où elles ne sont pour la promotion que cinq filles pour quatre-vingt dix élèves, que se noue une véritable amitié et que les trois jeunes filles travaillent d’arrache-pied  surtout Léa qui voudrait gagner l’admiration de son père, car ce ne serait pas une mince victoire que de gagner l’admiration et l’approbation de cet homme qui ne voit que par ses trois fils. J’ai aimé cette amitié qui dure malgré l’éloignement, les années et des destinées bien différentes mais toutes attachantes et remarquables. Jonathan, Derry, Arnie, sont également des personnages marquants qui accompagnent bien nos trois demoiselles. Un roman comme je les aime, qui nous transporte dans des mondes captivants avec des personnages qui savent nous embarquer dans leur histoire.

Une lecture que j'inscris dans le challenge  :




Editions Albin Michel
250 pages 

Quatrième de couverture :

« C’est pour toi que j’écris notre histoire. Mon seul espoir, mon seul but est que tu acceptes celui que j’étais avant de sonner à ta porte. Car tout ce qui mérite d’être aimé en moi, c’est l’évolution que je te dois : la somme de défis, d’illusions et de mensonges qui m’ont permis de trouver, dans tes yeux, ma véritable identité ».

Ce que j’en ai pensé :

Un militaire, Steven Lutz, travaille pour la CIA. Une fois encore il endosse la peau d’un autre et le voilà devenu un certain Martin Harris. Malgré lui il se retrouve plongé au cœur de nombreux mensonges. Pour l’amour d’une femme et à cause d’une obsession venue d’un rêve il va se retrouver en Amazonie pour se battre pour une plante médicinale nommée kimanu dont les vertus ont sauvé d’une tumeur maligne la femme qu’il ne pensait jamais rencontrer, Liz la veuve du vrai Martin Harris.
J’aime beaucoup le style de Didier van Cauwelaert, et c’est bien pour cette raison que j’ai une envie de découvrir ce nouveau roman. Je ne suis pas trop déçue mais pas non plus réellement captivée. J’ai bien aimé le début de cette histoire, un ancien agent secret qui essaie de se faire oublier et qui esquive toutes les attaques contre lui. Sa rencontre avec Liz, la veuve du botaniste dont il a usurpé l’identité ainsi que leur expédition en Amazonie laisse  présager une suite un peu plus intéressante qu’elle ne l’est, et là mon avis est un peu plus mitigé car l’intrigue est peu crédible, mélangeant plusieurs thèmes. L’écriture est toujours aussi agréable à lire et ne serait-ce que pour cela ce roman a le mérite de faire passer un agréable moment.

Lecture inscrite dans le challenge :


Editions Fayard
392 pages

Quatrième de couverture :

Rien ne semble devoir troubler l’existence ordonnée et protégée de Pemberley, le domaine ancestral de la famille Darcy, dans le Derbyshire, ni perturber le bonheur conjugal de la maîtresse des lieux, Elizabeth Darcy. Elle est la mère de deux charmants bambins ; sa sœur préférée, Jane, et son mari, Bingley, habitent à moins de trente kilomètres de là ; et son père adulé, Mr Bennet, vient régulièrement en visite, attiré par l’imposante bibliothèque du château. Mais cette félicité se trouve soudain menacée lorsque, à la veille du bal d’automne, un drame contraint les Darcy à recevoir sous leur toit la jeune sœur d’Elizabeth et son mari, que leurs frasques passées ont rendu indésirables à Pemberley. Avec eux s’invitent la mort, la suspicion et la résurgence de rancunes anciennes.

Ce que j’en ai pensé :

Pemberley est le domaine de la famille Darcy. Nous sommes à la veille du grand bal d’automne, le bal de Lady Anne,  et les préparatifs se font de tous côtés. Au dehors la tempête se déchaine, le vent siffle dans les cheminée sans perturber les occupants de la somptueuse demeure qui sont tous bien afférés mais heureux jusqu’à l’arrivée impromptue et hystérique de Lydia, la petite sœur d’Elisabeth Darcy. Lydia n’est pourtant pas invitée au bal car son époux n’est pas toléré au domaine. En sortant de sa voiture elle hurle « Wickham est mort, Denny l’a tué ! Ils sont là-bas, dans les bois ! Oh, mon Dieu, il est mort, j’en suis certaine ! ». M. Darcy lance alors les recherches et peu après le fringant capitaine  Denny est retrouvé à terre, le visage ensanglanté. 

J’ai passé un bon moment en lisant ce livre à l’ambiance victorienne. L’aristocratie de l’époque et la place de la femme sont bien représentées, il se dégage de ce livre un charme qui donne envie d’entreprendre d’autres lectures se passant à cette époque. L’intrigue par elle-même n’a rien de spectaculaire, mais le dénouement est bien trouvé. La couverture est très belle.