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Mes passions

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Martin Schulse, Allemand et Max Eisenstein, juif Américain, sont deux galeristes associés aux Etats-Unis. Mais surtout Ils sont deux amis fervents, deux frères. Malgré le départ de Martin et sa famille pour Munich, ils poursuivent leur amitié à travers des lettres chaleureuses. En mai 1933 bouleversé par l'afflux de reportages concernant l'Allemagne avec l'arrivée d'Hitler, Martin questionne son ami pour y voir plus clair. D'une cruauté imparable, la décision de Martin tombe comme une sentence "Ici en Allemagne, un de ces hommes d'action énergiques, essentiels, est sorti du rang et je me rallie à lui… Tu ne dois plus m'écrire. Nous ne sommes plus en sympathie". Max écrira une nouvelle fois à Martin pour qu'il aide Griselle, sa sœur, qui est partie faire une tournée internationale de théâtre en Allemagne et qui ne donne plus de nouvelles, Griselle que Martin connaît très bien. Mais Martin ayant peur du danger ne lui viendra pas en aide et la laissera aux mains des SA, alors Max saura lui répondre.



Mon avis :
Malheureusement cette histoire doit être proche de la réalité et en quelques pages l'auteure parvient à nous faire saisir toute la tragédie qui se joue. Ce livre est profond, il montre bien l'influence d'Hitler sur son peuple. Un livre qui ne peut laisser indifférent tant par sa brièveté que par sa force et son dénouement.

Mon premier billet pour ce challenge


Un homme se trouve en vacances à Bali quand il décide d'aller consulter un guérisseur de renommée internationale juste avant de rentrer chez lui.
Diagnostic : il est en parfaite santé, mais il n'est pas heureux.
C'est ainsi que commence une thérapie intensive. De visites en visite l'homme se rapproche du vieil homme à la sagesse infinie, celui-ci lui fait réaliser quelles sont ses croyances, en quoi elles le limitent et quel pourrait être son bonheur. Il accepte de se remettre en question et de suivre les conseils du sage qui en lui prenant la main va l'aider à mieux se connaître et trouver une autre façon de vivre avec les autres et avec lui-même.


Mon avis
Un livre avec un titre évocateur "l'homme qui voulait être heureux". Ce livre traite des croyances, que l'on ne soupçonne pas, et de leurs effets sur notre comportement. Une vision positive émane de ce roman : quand on veut vraiment et qu'on croit vraiment, rien n'est impossible. J'ai passé un excellent moment avec ce livre que j'ai lu presque d'une traite, j'ai eu envie de marquer certains passages pour bien m'en imprégner. "Il faut se frotter à la réalité" ! C'est une expression que j'aime bien. Pour moi c'est un livre à lire et à relire, très utile quand on n'est pas très bien et que l'on ne sait pas comment avancer, et si sa lecture peut permettre de trouver un peu de bonheur, alors ne pas hésiter.
Extraits :
"Si vous êtes, au fond de vous, convaincu que tout le monde est sympathique, vous allez vous comporter de manière très ouverte avec les gens, vous allez sourire, vous montrer détendu...".
"Ce n'est pas en écoutant quelqu'un parler que l'on évolue. C'est en agissant et en vivant des expériences".

La plupart de nos peurs sont des créations de notre esprit. La seule façon d'en être convaincu, c'est de se jeter à l'eau, d'aller les affronter». » Laurent Gounelle, romancier

Violaine est une jeune "chasseuse de tête" dans une grosse entreprise parisienne. Son travail est parfois fort ennuyeux, il consiste à recruter des candidats pour les clients du cabinet. Les dimanches elle se retrouve en famille, elle n'a pas beaucoup de divertissements et d'activités.  Au cours d'une de ses missions pour une société de ressorts, elle se trouve entraînée dans une histoire de meurtre. Sa vie personnelle et professionnelle va changer, elle va être confrontée à de nouvelles réalités.


Mon avis
Un roman sans prise de tête dans le milieu du recrutement, très drôle au début un peu moins ensuite. L'auteure nous offre une vision originale du monde du travail en nous présentant une galerie de personnages tels que le patron mystérieux, la standardiste parano ou le collègue arriviste. La famille de Violaine est également assez surprenante. Le personnage principal très critique envers les gens finit par être touchante de part sa maladresse. J'ai passé un bon moment à lire cette comédie assez burlesque.
Alban Espérandieu, la quarantaine, pilote de ligne, séduisant… Il a tout pour être heureux. Sa vie bascule le jour où un accident l'oblige à renoncer à sa carrière, alors il quitte Paris et se réfugie dans sa maison de famille en Normandie, le Paquebot, comme ils l'appellent. Il y rejoint Jo, sa grand-mère, celle qui les a élevés lui et ses frères Gilles et Colas, celle qui leur a servi de mère après la mort tragique de leurs parents. Il sera bientôt rejoint par Valentine, la femme qu'il aime. Tandis qu'il s'interroge sur le futur il découvre par hasard des évènements étranges qui se sont déroulés vingt-cinq ans plus tôt. Entouré de ses frères il essaie d'y voir plus clair sur son passé, mais Jo ne veut pas réveiller de vieux souvenirs, la vieille femme voulait vendre, la vente de la villa aurait tout englouti, tout effacé, il n'y aurait donc pas de révélations tardives, plus de crainte d'une possible malédiction du lieu, elle ne voit pas d'un bon œil l'avenir d'Alban et de Valentine au Paquebot, elle a peur, si Alban met la main sur le plus petit bout de fil, il dévidera la pelote.

Mon avis :
Une lecture agréable, extrêmement facile. Une histoire d'amour, un drame familial où l'on retrouve des émotions, des intrigues et surtout l'importance d'une famille. Je me suis restée un peu sur ma "faim" car l'intérêt portait sur la révélation d'un grand secret de famille…Ce n'est pas un livre qui me laissera un souvenir impérissable.




D'un côté, Sonia Bergerac qui est professeur de français dans un collège de banlieue. Elle vit difficilement la dureté quotidienne des relations avec ses élèves, et est d'autant plus fragilisée par le départ de son mari. De l'autre côté des élèves, des jeunes. Une journée ordinaire pour Sonia, qui tente de transmettre son amour de la langue à ses élèves, ces derniers lors d'une répétition de théâtre ne l'écoutent pas, ils sont très indisciplinés, impolis même parfois terrorisants, elle finit par découvrir un pistolet dans un sac d'élève. En cherchant à la confisquer, un coup part et blesse Mouss, un élève, à la jambe. Dans la confusion du moment, elle craque et prend sa classe en otage. Alors qu'à l'extérieur, les autorités scolaires, policières et politiques peinent à comprendre et à réagir à la situation, Sonia impose à ses élèves sa vision et leurs contradictions. 


Mon avis : 
Un film rude, fort, où Isabelle Adjani joue le rôle d'un professeur névrosée et très fragile dans un lycée difficile. Derrière elle, une galerie de caricatures : un proviseur lâche, des garçons machistes et brutaux, des filles soumises, sinon harcelées, pourtant prêtes à la révolte. Un film bouleversant, il est vraisemblable que certaines scènes vues dans ce film existent bel et bien, qu'elles ne sont pas inventées, ce que je regrette un peu c'est que le film nous montre que des Arabes et des Noirs, alors que si l'on veut montrer la violence et l'intolérance, les blancs ont également leur place dans cette classe. Quoique qu'on s'en défende, ce film, avec tous ses sous-entendus, sur l'école, sur les jeunes, sur l'immigration, laisse une profonde impression de malaise mais il reste dans les films à voir et qui ne vous laissent pas indifférents. Isabelle Adjani a reçu le César de la meilleure actrice pour son rôle dans "La Journée de la jupe".
Les derniers mots d'Antoine Raudier furent pour Mathilde et pour ce lieu dont il avait tant rêvé dans le cantal. Troublé par les propos de son père et bouleversé par sa découverte de trois enveloppes non décachetés sur lesquelles il avait lu "ne m'écris plus, je ne t'aime pas Mathilde" Jacques va se rendre à Chante-Perdrix pour découvrir ce que son père n'a pas eu le temps de lui dire. Arrivé là l'histoire recommence : comme son père, le fils est enchanté par ce lieu, par le vieux moulin à l'abandon et bientôt il tombera sous le charme de Marjorie. Une nouvelle vie commence pour lui au milieu des odeurs de la terre dans cette vieille bâtisse entre l'Auvergne et l'Aveyron.

Mon avis : Un vrai coup de cœur pour ce livre.
Il se déguste. En allant sur les traces du passé de son père Jacques nous fait traverser en quelques pages un autre monde, un monde avec de vraies valeurs, un monde enchanteur. Ce roman est une ode sur la nature, un régal pour les amateurs de roman du terroir.
Un grand merci à Martine qui me l'a offert pour mon anniversaire.
L'histoire se déroule en 1958 dans une petite ville de ville de Caroline du Nord.
Landon Carter a 17 ans, est fils de bonne famille et est en dernière année de Lycée. Jamie Sullivan est la fille du révérend de la ville, on ne la voit jamais sans sa bible et son éternel chignon, elle est toujours vêtue des mêmes modestes vêtements et est dévouée à tout le monde. Ses camarades dont Landon, agacés par son côté sainte-nitouche, aiment se moquer d'elle, ils la taquinent à propos de son père, de son habillement et de sa foie en Dieu. Pour le bal du lycée, Landon, qui se trouve sans cavalière est contraint de l'inviter. Elle le prévient "d'accord, mais promets-moi de ne pas tomber amoureux de moi". La vie en décide autrement. Landon apprend à la connaître et tombe follement amoureux d'elle et lorsqu'il apprend qu'elle n'a plus que quelques mois à vivre, il fera tout pour lui donner une fin de vie heureuse.

Mon avis : C'est tout simplement un très beau roman qui réunit tous les ingrédients pour faire chavirer le lecteur, on est d'ailleurs prévenu au début du roman : "vous allez rire et pleurer". La tendresse, l'amitié, la solidarité et l'amour tiennent une grande place. Ce n'est pas de la grande littérature, mais c'est une très belle histoire entre un jeune garçon populaire qui est soucieux du regard des autres et une fille coincée. Ils ont peu de points communs et apprennent à se comprendre. Le roman est assez court, 200 pages environ et se lit très rapidement. Un roman très émouvant.

Juliette Leroy, femme de caractère, gère son domaine viticole dans le Bordelais aidée de son frère Stéphane et de sa fille Juliette. Ce domaine se transmet de mère en fille depuis des générations. Elle est également maire de Sainte Foy; ville qui ouvre ses portes sur son port de mer d'une part et sur les collines plantées de vignes d'autre part. Au début de l'été, la sonnerie du téléphone l'interrompt, elle doit se rendre à la grotte des Aubiers car un garçon a chuté dans une crevasse. Heureusement plus de peur que de mal le gamin est secouru par les pompiers et s'en tire avec quelques ecchymoses. Mais Juliette est bouleversée, les secouristes ont également remonté une gourmette sur laquelle est gravé "Fabienne" le prénom de sa sœur disparue six ans plus tôt. L'enquête, bâclée et vite enterrée à l'époque des faits est relancée. Qui ? Pourquoi ? Fabienne était journaliste, sur quoi enquêtait-elle ? Est-ce lié ?. Juliette est alors entraînée dans un vertigineux tourbillon où se mêlent les intérêts particuliers, les jalousies refoulées des amours passés, les secrets insoupçonnables de ses parents et des amis proches, les remises en questions et les doutes mais aussi les nouvelles rencontres et les nouvelles passions avec leurs lots de larmes, de désespoirs, mais aussi de rires et d'amour.

Mon avis :
Une magnifique saga comme je les aime, une histoire de famille avec ses secrets et ses intrigues. Les personnages sont attachants, on vit cette histoire avec eux.
J'ai adoré ce livre, l'écriture est fluide, l'intrigue est intéressante, suspens et secrets de famille se croisent au fil des pages. Une enquête qui rebondit de pages en pages. De nouvelles rencontres d'où naissent de nouveaux sentiments. Les senteurs de la campagne dans la lumière d'un soir d'été, les odeurs du raisin et la bonne humeur pendant les vendanges. L'attachement à ce domaine viticole qu'il faut sauver à tout prix, mais également et surtout les profonds sentiments qui lient la mère et la fille dans la joie, le travail, la peine et le chagrin. Une dernière page qu'on n'a pas envie de tourner, un dernier mot lu, un livre qu'on a du mal à fermer.
Dans le monde des vivants, Ivy seule depuis la mort de Tristan, se remet à vivre petit à petit malgré ses cauchemars et ses souvenirs. Ses amis l'entourent et l'incitent à tourner la page. Son presque frère, Grégory, est plus que présent pour elle et l'aide à surmonter sa peine au mépris de la jalousie de Suzanne qui voit d'un mauvais œil ce rapprochement entre sa meilleure amie et son petit copain.
De son côté, Tristan, qui apprend peu à peu à maîtriser sa condition d'ange, se fait épauler par Lacey, un autre ange, qui va l'aider à comprendre ce qu'il est devenu et à utiliser au fur et à mesure ses pouvoirs pour entrer en contact avec Ivy.. Mais cette dernière ne croit plus aux anges depuis l'accident, ce qui complique bien les choses. Il tente donc de lui faire parvenir des messages par l'intermédiaire de proches plus réceptifs. Il est désormais certain que l'accident qui lui a ôté la vie n'en était pas un et il sent qu'une menace plane sur Ivy et qu'elle est en danger. Quelqu'un se cache derrière tout ça, une personne qui n'est surement pas étrangère au "suicide" de Caroline, la mère de Grégory.

Mon avis :
Très facile à lire, ce deuxième tome se finit très vite. On entre dans l'histoire, mais rien de remarquable, d'un côté, la jeune fille, ses meilleurs amis, le presque frère parfait et de l'autre, un autre monde, celui des anges avec Tristan et Lacey. Quelques découvertes et révélations dans ce tome, mais au final peu d'action, heureusement Grégory et Suzanne sont présents et mettent un peu de piquant à l'histoire, cependant le suspense porte plus sur la manière dont les évènements vont se passer, on attend de voir ce que donnera la suite avec le troisième tome.