Alors qu'elle va s'excuser du bruit occasionné par ses chiens, la reine se sent obligée d'emprunter un livre au bibliobus. C'est à partir de ce moment qu'elle se découvre une véritable passion pour la littérature. Aidée par son tabellion personnel, Norman, un ancien employé aux cuisines, elle va de livre en livre, ce qui va occuper son esprit et son temps à tel point qu'elle en délaisse ses fonctions royales, ce qui ne plait pas à son entourage. Mais le temps de lire est celui de la réflexion, et c'est l'action qui intéresse au bout d'un certain temps la reine. Elle se met alors à vouloir écrire elle-même.
Mon avis : Il y a eu beaucoup de commentaires sur ce livre. Je suis un peu déçue car j'en attendais plus. Si le début est fluide et plein d'évènements, le rythme retombe un peu après et la fin est assez surprenante. Une farce sur le pouvoir subversif de la lecture. La reine d'Angleterre se découvre par hasard un goût pour la lecture. Rien n'arrête son appétit dévorant ...J'ai eu un peu de mal à rentrer dans cette fiction. Bref, ce n'est pas un roman qui me laissera un impérissable souvenir.
2 commentaires:
je suis étonnée que tu n'ais pas aimé !
Au delà de l'anecdote, ce petit roman assez facétieux et réjouissant, pose de vraies questions : qui sommes-nous, quand nous lisons ? Quels rapports entretenons-nous avec les livres, leurs auteurs, leurs personnages ? Comment les mots de la littérature transforment-ils notre vision du monde qui nous entoure ? La lecture change-t-elle notre relation aux autres ?
Pour ce qui me concerne, j'avais beaucoup aimé !
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